Pour tous ces jours ou j'entends siffler le vent
ces matins qui continuent d'allonger le temps
cette indifférence pleine de méfiance
je n'enterre jamais l'ennui alors j'écris à qui me lira
plus je pense à toi sans compter le temps qui passe
je m'aperçois que rien ne me guérira
rien ne te remplace je manque et meurs de toi
mes sommeils dansent maintenant,
ils veillent à soulager ma souffrance
accompagnée de ces douleurs physiques..
que tu as oubliées depuis ton départ .