Commémoration et respect sont absents
Compassion , reconnaissance , aide , rien jamais rien
ne nous est donné
Sans chiffon pour effacer nos larmes au bas du tableau ,
sans livre blanc pour tourner cette fameuse page, qui clos notre vie .
Il leur est facile de se tirer à tout jamais ..Que dire ?
faussement valeureux , respectueux , menteurs. médiocres ces jolis coeurs ...
La liste de défauts est longue édifiante écrasante .pour nous femmes de peu de foi .
A ce jour , celle qui a tiré sur son prédateur est toujours prisonnière...
pourquoi depuis des siècles , cette haine du plus faible que soi ?
Sunday, October 16, 2016
Wednesday, October 12, 2016
Je t'aime....
Sept lettres pleines de sens à partager.
C'est ainsi à tout jamais , ce lien dans l'histoire est.
Il ne faut pas l' effacer .
Beaucoup, ont la médiocre réaction de se moquer ...
mais d'eux-mêmes nous n'attendons rien ... vu !
leur majorité , en sont irrémédiablement incapables
Thursday, October 06, 2016
Se tenir sans larmes inutiles
Voila ,Athénaïs de Mortemart hors du lit royal..
pas de larmes , pas de cris, pas de spectacle pitoyable
un vent d'automne frais de raison nettoie la plage...
Maintenon , dix ans d'histoire jusqu'au calme fatal.
Wednesday, October 05, 2016
un poco de la storia de mi vida
La implication , la désillusion, le désenchantement ,
la réalité,le corps à corps avec le chagrin sans lendemain
Si tu savais de la je ne reviendrai
les couleurs parfois reviennent , le dessin esquisse un souffle de vie masqué
Sunday, August 21, 2016
Qu'auriez vous fait si ?
Si vous étiez née au milieu de la France
si votre vie basculait avec autrui qui n'est pas d'ici ?
Si vous aviez eu envie de tuer que vous ne l'avez fait ?
qu'auriez vous pensé de ces dix ans perdus gâchés
qu'auriez vous fait devant la trahison inattendue ?
Qu'avez vous pensé en dormant dans son lit ?
avez vous pensé que celui la , vous trahirait aussi ?
Qu'il était temps de casser tout cela ,
Thursday, August 18, 2016
Le voyage autour de soi
Courir après soi même , comprendre son propre souffle , le reprendre
savoir l'autre de l'autre coté de l'arène sans le suivre...
Telles les aiguilles de l'horloge nous nous rerencontrerons nous nous dépasserons
l'inévitable parcours de l'amour depuis toujours ! on sait l'autre loin de soi
loin de lui même , loin de soi même , loin de son monde
et puis quand même avouer que l'on aime....sans retour .
Monday, August 08, 2016
Imagine
Je ne serai plus là près de toi , je ne te regarderai plus
j'ai appris à t'oublier , de toi , il n'y a plus rien de rien .
sans regret j'irais chercher ta caution d'abandon....
mon coeur est toujours le même.
Toute seule je parlais , aux murs , à ton absence.
Tous les tiens se sont effacés , ils sont devenus muets , une discrétion meurtrière
leur attention espérée ne s'est jamais manifestée.
Seule mamie blanche demeure encore vivante ...elle n'est déjà plus la.
Comme les ressources terrestres sont épuisées ,
tu as choisi de mourir la-bas
loin de tout, loin de nous.
Le vide près de toi s'est installé ,
mais mimie aura toujours besoin de toi .
Friday, August 05, 2016
Non , c'est impossible
J'écris ton nom aujourd'hui comme hier
j'avais dis oui impossible d'être parjure
mais j'ai dis oui
Thursday, July 28, 2016
L'océan se déverse là
J'ai gagné ! 3000 km de terres inconnues
28000 m3 seconde de chutes
de l'un des plus grands torrents du monde,
le fond de l'oubli quasi atteint , 12000 m au dessus des nuages,
moins 56°degrés ; nettoyage du fond de l'âme
ce défi m'a permis de réinventer ma propre liberté !
Certes , mon chemin de Compostelle semble ordinaire
peu importe l'espace m'appartient , tout comme Sisyphe
j'avais une lourde charge à larguer
mais je me lève et marche encore insuffisemment
pour prendre de l'altitude jusqu'au K2...
Saturday, July 23, 2016
Ne pas savoir se défendre
Parce que l'on pense que le respect et l'amour suffiront
qu'il est impossible que soit détruite l'intelligence de sa vie...
je revois cette photo sur feuilles mortes , le manteau ,
la petite gamine en imper rose sans commentaire ...
je revois le feu dans notre cheminée ou j'ai brulé cela,
j'entends le froissement, l'engloutissement chuintant...
Le vol a eu lieu il y a dix ans ,ma place est prise ,
la famille continue oublieuse de ma vie,
le juge a dit c'est fini c'était fini !
aujourd'hui devant l'écran ma gorge se serre..
je n'existe plus je suis autre mon nom a changé
j'ai aussi pris la place d'une autre qui est partie...
le ciel est bleu comme les agapanthes, il fait chaud .
ma sixième décennie ne me ternit pas
un autre homme tient ma main si je trébuche,
sa vie s'est aussi définie par accoups
selon les amours perdus ou réussis de sa vie ...
Dans deux ans j'afficherais 70 je ne me rend pas compte
la deuxième chance est ici ,
de l'autre coté de l'Atlantique je suis retournée.
Trois rivières ont redéveloppé le passé ..
l'ampleur du Saint Laurent montre que le nouveau monde m'appartient ,
que de vrais regards m'ont montré leur hégard.
guidée par le quartier maitre je marche de mieux en mieux..
confondue par son amour qui se construit chaque jour.
Tuesday, July 12, 2016
Viens danser .
Sous les sunlights des tropiques tu prenais ma main pour un salto
je savais bien te suivre genoux pliés m'envelopper dans un rock adapté ...
et puis voilà c'est terminé la vie ne me fait plus danser hé hé
Mais voilà parfois je crois que je peux je ferme les yeux ....
Thursday, June 09, 2016
Il est ou le bonheur
Celui que l'on avait construit , jeté dans le vide ,
écrasé piétiné
il ne reviendra plus, ne se retournera pas ...
c'est l'horreur il a été cédé par erreur ailleurs
le bonheur n'a plus de coeur , blessé
il fait encore toujours mal au coeur ..
Tuesday, June 07, 2016
Effacer sans se renier
Refuser l'oubli, la caresse du temps , les instants marquants;
possible à savoir , le corps entends toujours ..
Décoller les souvenirs du fond de l'âme du drame.
comparaisons impossibles
je le pensais correct , élégant ,
délaissant la vie vide de sens
on mesure son innocence dans un torrent de douleurs
Wednesday, June 01, 2016
Sans bons souvenirs
Dans le sac de notre vie, il y a toujours de bons moments,
Sans eux je n'aurais pas su vivre, revivre ,
tu en as , j'en ai ils sont précieux .
Wednesday, May 11, 2016
Les marchés d'andalousie ...
Quand la Méditerrannée promène ses galets
La plage de San José s'installe sur l'écran
Au milieu du pueblo choisir une image postale
chargée de souvenirs ;
soudain une vielle dame " la Cabrera "d'un coup d'abanito claqué m'adresse la parole :" el senor Derek t'a oubliée ... " Alméria te le rendra!..
je ne sais pas si il s'est envolé pour une autre contrée éloignée ...
J'entends le pianiste de Varsovie .que chante Bécaud
..le coeur marqué je cherche les images ...
le Cloud les a volées déplacées
mais gravées dans ma mémoire à jamais ..
Saturday, April 30, 2016
con te partiro
Si , tu contes cela ,tôt ou tard tu y reviendras c'est comme ça
tu vois le rivage de ton pays c'est un mirage ..
sais tu que je suis la fiancé du pirate ibère ?
Du quai du nouveau monde
on ne part pas on ne peut pas partir c'est ça !
comme ça , déjà loin de toi et de moi ça va mieux ?
J'ai attrapé le soleil ,Lucia me l'a enlevé ,
mais elle est partie elle aussi
Dix iris bleus
Néerlandais ils sont , fidèles aux lumières du jardin
réunis en bande en bordure , contre plan des Arums blancs ...
Ils ne répondent pas à la question de l'endormie lunaire ...
mademoiselle Laviça aux pieds nus ,
donner la liberté à cette errante indéfinie de la peinture ...
Changer sa compagnie par d'autres sujets
Peinture et décor oblige..
Le regard rempli d'actualités ,le temps des fleurs en cours de plantation
que me reste -t-il ? il faut mettre la couleur , tracer le lion ébourrifé
je cherche l'impulsion et augmente le casting du sujet ...
une fleur ? un Zarafa ? , l'horizon fleuve ? j'hésite ...
Thursday, April 28, 2016
La terre a tremblé ...
Pour que jamais tu ne m'oublies , jamais je n'avais ressenti cela ,
pas de panique il s'agit de deux secondes un frisson une alerte..
d'autres plus loin vivent cela très souvent , perdent tout même la vie !
d'abord j'ai cru qu'un avion tombait nous sommes près de l'aéroport,
puis nous avons compris qu'il fallait fuir dans l'allée...
deux secondes plus tard c'était fini ...
Nous vivons sur la fin d'une ligne sismique, elle a le temps de grandir ...
Wednesday, April 27, 2016
Le temps des fleurs fanées
L'handicap de Lady Mary l'empêchait de se pencher pour ramasser , glaner ...
collecter ; le mur ,les troncs faisaient office de tuteur pour se relever ..
Outre la lourdeur des jambes , seules qq minutes laissaient l'opportunité
de participer au jardin...mais la minute n'empêchaient pas de penser au déserteur ...
( Fini le temps du pardon , jamais je n'oublierais l'humiliation.)
L'ardeur au soleil est dure, la respiration est coupée ,malgré le désir de partager...
seul le refuge du transat du quai du nouveau monde est bienvenu .
Saturday, April 23, 2016
Ce qui ne se raconte pas
Je ne sortais jamais de chez moi
et puis un jour est venu : dis donc si tu venais prendre un pot
à ( je ne sais plus ) assis autours de tables de fortune
nous étions trois ,puis quatre ,la musique était forte
le slow se dansait , invitée je me laissais enlacer entrainer
il fallait revenir dans la ville avant minuit
attirée sur la banquette arrière par jean pierre
je prenais plaisir à ses baisers enflammés puis
l'aurevoir dans la ville , on se revois dis me dit-il ?
jamais je ne l'ai revu , un jour un samedi midi
j'essayais de téléphoner ; non il n'est pas là
on ne sait pas , c'est tout ... le 1er vide ; je ne retournerais jamais danser
puis désarçonnée je me jurais de travailler d'apprendre sans savoir comment serait ce travail.
les autres me semblaient maitriser l'anglais : j'apprendrais ! en maths je pateaugeais :
personne pour m'expliquer ce que je lisais disparaissait automatiquement ..
Fébrile de me sortir de ce dédale incertain inconnu je me présentais alors
au CAFAS d'arts appliqués ,un des rares diplômes auquel je pouvais me présenter .
c'était la première marche , le coeur battant je m'inscrivais au CNTE
préparer le bac sans culture de fond en solitaire ..de bons résultats encourageants
me menaient au Bac général malgré bien des lacunes évidentes .
Le tout était la force d'y croire
et puis un jour est venu : dis donc si tu venais prendre un pot
à ( je ne sais plus ) assis autours de tables de fortune
nous étions trois ,puis quatre ,la musique était forte
le slow se dansait , invitée je me laissais enlacer entrainer
il fallait revenir dans la ville avant minuit
attirée sur la banquette arrière par jean pierre
je prenais plaisir à ses baisers enflammés puis
l'aurevoir dans la ville , on se revois dis me dit-il ?
jamais je ne l'ai revu , un jour un samedi midi
j'essayais de téléphoner ; non il n'est pas là
on ne sait pas , c'est tout ... le 1er vide ; je ne retournerais jamais danser
puis désarçonnée je me jurais de travailler d'apprendre sans savoir comment serait ce travail.
les autres me semblaient maitriser l'anglais : j'apprendrais ! en maths je pateaugeais :
personne pour m'expliquer ce que je lisais disparaissait automatiquement ..
Fébrile de me sortir de ce dédale incertain inconnu je me présentais alors
au CAFAS d'arts appliqués ,un des rares diplômes auquel je pouvais me présenter .
c'était la première marche , le coeur battant je m'inscrivais au CNTE
préparer le bac sans culture de fond en solitaire ..de bons résultats encourageants
me menaient au Bac général malgré bien des lacunes évidentes .
Le tout était la force d'y croire
Thursday, April 21, 2016
Quand la vie partira ...
Evidemment c'est normal , le mauvais vent t'emportera,
comme Wolfgang tu glisseras dans la tombe ,tout seul.
dans ce pays de l'oubli personne ne te verra partir.
accepter , comprendre à tout jamais , c'est vrai, c'est fini!
Wednesday, April 20, 2016
Tu présencia
As tu jamais pensé ? que tu devais ?
je t'ai regardé partir , mais tu ne m'a pas vu mourir...
Dix ans de soins pour une autre que moi-même...
Hier à l'Alhambra je marchais droit vers la vie .
Tu ne m'aimais pas , je pensais que nous étions deux
Les éléments m'ont détrompé , je ne voulais pas cela
je ne voulais pas cela ...tu étais ma vie
Je rencontre la lune chaque nuit, même lors
de ses rendez vous décalés avec le soleil.
Sur mon écran, il y a toujours de grands bateaux
ceux de la Compagnie Générale Transatlantique..
et un grand yatch blanc venu de Méditerranée..
Ils avancent toujours sur les flots de ma vie
Le blanc cargo"Colombie"à tout jamais échoué..
Le paquebot " Liberté " a deux cheminées...
me suivent depuis quarante ans
Corto en est le marin éternel , l'Archange a pris le relais
tu es revenu d'Oranie sur l'un de ceux là
Avec un BDC le Bidassoa ; qui a conrourné ton pays
pour rapatrier les colons " français "...
Chacun a sa traversé du désert...
Le roulis est constant il ne m'abandonne jamais..
Monday, April 11, 2016
Les nuits claires d'Henri...
Couchée dans le long des dunes , Lavica est
la rêveuse tranquille ,mystérieusement
vêtue d'ombres et de nuances chromatiques...
la robe tigréenne envahie d'un théorème textile à six couleurs .
Calme quiétude animale du lion gardien de l'instant ,
Partition nocturne du ciel ponctué de six étoiles.
Connivence bienveillante du disque lunaire inconnu
Crinière sidérale ondulée de fraicheurs désertiques,
flair attentif de la bête au regard énigmatique .
Lourde coiffure d'ondulations roses rêvées ...
Envol musical de l'ensommeillée éthiopienne
Profond sommeil d'une randonnée Bohème
près d'une mandoline allongée sur un désert bayadère.
Visage assombri par la nuit , pieds et mains en veille
piano à douze touches nacrées de rose,
bâton et eau fraiche prêts à l'éveil ,
pour la longue marche des bohémiens ...
les tigréens sont une peuplade d'Ethiopie
la rêveuse tranquille ,mystérieusement
vêtue d'ombres et de nuances chromatiques...
la robe tigréenne envahie d'un théorème textile à six couleurs .
Calme quiétude animale du lion gardien de l'instant ,
Partition nocturne du ciel ponctué de six étoiles.
Connivence bienveillante du disque lunaire inconnu
Crinière sidérale ondulée de fraicheurs désertiques,
flair attentif de la bête au regard énigmatique .
Lourde coiffure d'ondulations roses rêvées ...
Envol musical de l'ensommeillée éthiopienne
Profond sommeil d'une randonnée Bohème
près d'une mandoline allongée sur un désert bayadère.
Visage assombri par la nuit , pieds et mains en veille
piano à douze touches nacrées de rose,
bâton et eau fraiche prêts à l'éveil ,
pour la longue marche des bohémiens ...
les tigréens sont une peuplade d'Ethiopie
Saturday, March 26, 2016
Le flot du temps.
Toute l'âme de ces femmes, toutes ces larmes ,
Au pied des colonnes de Palmyre,les petites filles tuent
font exploser les têtes de leurs frères de leurs père d'un coup sec.
Que se passe-t-il ? Alien le reptile les habite..
L'oeuf du serpent est toujours présent..
La fuite n'est pas un refuge , elle induit le déluge
Aujourd'hui, je continue à confier mon désarroi,
je continue à vous parler dans le désert.
La encantadora de serpientes psalmodie
la lente mélopée du fleuve lunaire..
La même que regardaient les bleuets avant l'orage...
Dans la nature sauvage, l'oiseau n'a pas de cage.
Seul le végétal frisson chuchote le long du fleuve
qui glisse à l'horizontal sur la trace de mes pinceaux.
Les verts d'eau montent la gamme de fond
de la forêt vierge , celle de notre coeur en profondeur.
Les jours se comptent ainsi, telle la vie;
Le Douanier raconte les méandres de sa vie,
il me raconte aussi , autres choses que l'écrit .
Les caprices du fleuve
Les fluides ondulations de la chevelure d'Isadora dansent,
sous les voiles indiscrets de Van Dongen..
Dans un carré de verre, encadré d'ébène
Se résume la valse de la vie de Mary..
Le grand boa blanc émerge du tréfond
des illustrations de son enfance .
jaillissant violemment , au milieu
du souffle d'écume fouettée.
De l'autre coté de l'océan , sirène ,singes géants
cherchent l'éclat du diamant perdu prisonnier
des vagues et des rochers d'une l'ile oubliée .
Le courant d'air s'agite et remue les souvenirs.
Instants importants du groom du casino:
le carton d'invitation réserve l'habanito.
bouquet de roses ambrées calé
dans un sous verre des puces de Madrid.
Voilà , le robinet est ouvert...
Wednesday, March 23, 2016
Elle est si fragile
Etre abandonnée , tu sais , c'est pas si facile ,
elle est abonnée à sciences humaines elle lit philosophie
et le magazine littéraire , c'est le progrès , elle assure ses arrières.
Elle aime avancer , oublier sa fiche identitaire
" penser n'était pas pour elle " , réfléchir sera sur l'avenir...
Demain , n'est pas toujours gratuit c'est ainsi ;
les évènements le prouvent encore ce jour .
il n'est plus temps de parler d'amour, tout court
son parcours se trace chaque jour ,
son discours reste courtois elle ne dénonce pas .
c'est sa loi. Kouki Dingler elle ne le connait pas ...
Hier , elle peine à l'oublier tourner la page
serait à son avantage sans partage !
L'antidote du désenchantement
Rien ne sert de crier, de pleurer encore et encore ,
accepter la diversité sans recourir à la violence
à l'exaspération inutile harassante
Tu m'a pris ci , tu as fais ça , je suis ci tu es ça ,
t'es la bas , je suis ici , tout ça pour ça ?
le livre , l'écrit , le dessin , les expos impossibles
la poudre d'escampette , la poudre aux yeux
le quotidien ne nous laisse pas serein
j'aimerai tant tant voir Syracuse et le palais du grand Lama
mais , ça sera " les chemins de Compostelle "...
accepter la diversité sans recourir à la violence
à l'exaspération inutile harassante
Tu m'a pris ci , tu as fais ça , je suis ci tu es ça ,
t'es la bas , je suis ici , tout ça pour ça ?
le livre , l'écrit , le dessin , les expos impossibles
la poudre d'escampette , la poudre aux yeux
le quotidien ne nous laisse pas serein
j'aimerai tant tant voir Syracuse et le palais du grand Lama
mais , ça sera " les chemins de Compostelle "...
Friday, February 12, 2016
La fin du pèlerinage..
Mal aux pieds , mal partout jusqu'au bout...
L'abandon du pardon jusqu' à destination....
La route ibérique rouvre ses pas
de la Castille parée de séguedilles
Coïmbra bénira le retour près de Fatima
Manuelita aux pieds dénoués se retrouvera ,
même s'il fait chaud la-bas
elle continue de marcher
jusqu'à Porto et Bilbao !!
Thursday, January 14, 2016
Et si j'écrivais ?
Et si j'écrivais ?
Deux heures de vol une demi heure d'attente les souvenirs affluent
le vent coure dans les couloirs du petit aéroport , avant les contrôles d'identité
Dehors le taxi attend dans le brouillard au bord d'un rond point,
quelques bosquets laissent place à des immeubles récents,
ralentissements autour de vielles bâtisses ceintes de barbelés
les lieux de la vieille ville respirent le temps passé
apparaissent les murailles féodales recouvertes de mousse , grises d'histoire
encore fréquentées il y a peu
le plafond est uniformément gris , la rectitude des parterres humides
freine toute admiration du décor froid et embrumé.
toutes les orientations s'affichent brièvement en rouge aux angles de lourds batiments.
Derek descend du taxi , décidé : il n'est pas d'ici. et puis qui vivrait ici ?
Son enfant ne le saura pas , sa vie vie doit commencer là
qui est-il ?lui , l'homme chargé de soleil, ou vas-t-il ?
Les siens sont balayés dans d'autre contrées à oublier.
Là,n'est plus son soucis, il entre dans un hôtel à touristes
demain, il saluera ses nouveaux amis , ceux ( hommes ou femmes ) qu'il a étreint dernièrement .
Lors de ses derniers passages leurs linges étaient mélangés pour cela , elle a su .
une lecture impossible de projets imprécis sans scénario devient réalité
brouiller les pistes s'avérait essentiel , un autre mariage serait le rempart
Idée tramée pour se libérer , mais l'accord conclu
demandait une mise en scène ..tacitement organisée irréfutable,
aucune aliénation traditionnelle sur le fond ...
Le mannequin raide sans sourire occupe le rôle
professionnel du projet , pensé pesé ,rêvé
belle connivence d'apparence choisie sans amertume.
Qui est -il ? qui es tu ? tu allais te jeter dans le vide , elle avait hurlé pour t'en empêcher , émotion perdue inutile ,
Cette fois ci ,le vide est là tu ne le sais pas ...
A toi , à ta façon de me rendre belle , rebelle tu ne sais plus.
à toi à ta façon d'abandonner l'amour , de déchirer sa vie
c'est comme ça , c'est le prix des larmes.
même si la souffrance lui est intolérable
tu es parti partager ce que tu me donnais
ce matin Jo chantait avec ta voix
c'est l'effroi tu ne le sais pas .
je pousse la petite fenêtre carrée , il neige dans ce pays
je ne sais pas encore , qu'une voix prépare avec forte certitude ce qu'il adviendra de moi . c'est sa loi !
Alga lui colle à la peau , même auto, même format ,
même scénario , même maladie ..temps pis !!
Deux heures de vol une demi heure d'attente les souvenirs affluent
le vent coure dans les couloirs du petit aéroport , avant les contrôles d'identité
Dehors le taxi attend dans le brouillard au bord d'un rond point,
quelques bosquets laissent place à des immeubles récents,
ralentissements autour de vielles bâtisses ceintes de barbelés
les lieux de la vieille ville respirent le temps passé
apparaissent les murailles féodales recouvertes de mousse , grises d'histoire
encore fréquentées il y a peu
le plafond est uniformément gris , la rectitude des parterres humides
freine toute admiration du décor froid et embrumé.
toutes les orientations s'affichent brièvement en rouge aux angles de lourds batiments.
Derek descend du taxi , décidé : il n'est pas d'ici. et puis qui vivrait ici ?
Son enfant ne le saura pas , sa vie vie doit commencer là
qui est-il ?lui , l'homme chargé de soleil, ou vas-t-il ?
Les siens sont balayés dans d'autre contrées à oublier.
Là,n'est plus son soucis, il entre dans un hôtel à touristes
demain, il saluera ses nouveaux amis , ceux ( hommes ou femmes ) qu'il a étreint dernièrement .
Lors de ses derniers passages leurs linges étaient mélangés pour cela , elle a su .
une lecture impossible de projets imprécis sans scénario devient réalité
brouiller les pistes s'avérait essentiel , un autre mariage serait le rempart
Idée tramée pour se libérer , mais l'accord conclu
demandait une mise en scène ..tacitement organisée irréfutable,
aucune aliénation traditionnelle sur le fond ...
Le mannequin raide sans sourire occupe le rôle
professionnel du projet , pensé pesé ,rêvé
belle connivence d'apparence choisie sans amertume.
Qui est -il ? qui es tu ? tu allais te jeter dans le vide , elle avait hurlé pour t'en empêcher , émotion perdue inutile ,
Cette fois ci ,le vide est là tu ne le sais pas ...
A toi , à ta façon de me rendre belle , rebelle tu ne sais plus.
à toi à ta façon d'abandonner l'amour , de déchirer sa vie
c'est comme ça , c'est le prix des larmes.
même si la souffrance lui est intolérable
tu es parti partager ce que tu me donnais
ce matin Jo chantait avec ta voix
c'est l'effroi tu ne le sais pas .
je pousse la petite fenêtre carrée , il neige dans ce pays
je ne sais pas encore , qu'une voix prépare avec forte certitude ce qu'il adviendra de moi . c'est sa loi !
Alga lui colle à la peau , même auto, même format ,
même scénario , même maladie ..temps pis !!
Saturday, January 09, 2016
Visage(S)
"Si un jour tu crois..".copie d'une lettre manuscrite à ma fille et mon ex ego.
Il fait froid ,comme lors des mois de ta naissance
Tu es devenue " Lettrine " culturellement identifiée
avec tes propres interrogations infinies...ton sens de l'écrit ,
de la mise en page tes desseins et ton dessin ...
Au travers des parutions artistiques , j'ai trouvé un ouvrage
titré Visage(S) conçu par Martial Guedron édité chez HAZA
sens.et représentations.en Occident..
Quelques mots pour signaler une mise en page triste sans saveur,
sur un contenu illustré éminemment parfait
Comment peut_on négliger le savoir de la composition ?
je ne vois que l'orgueil d' une prison invisible pleine de préjugés
Mépris défiance entre corps de métiers frein du développement
Il fait froid ,comme lors des mois de ta naissance
Tu es devenue " Lettrine " culturellement identifiée
avec tes propres interrogations infinies...ton sens de l'écrit ,
de la mise en page tes desseins et ton dessin ...
Au travers des parutions artistiques , j'ai trouvé un ouvrage
titré Visage(S) conçu par Martial Guedron édité chez HAZA
sens.et représentations.en Occident..
Quelques mots pour signaler une mise en page triste sans saveur,
sur un contenu illustré éminemment parfait
Comment peut_on négliger le savoir de la composition ?
je ne vois que l'orgueil d' une prison invisible pleine de préjugés
Mépris défiance entre corps de métiers frein du développement
Subscribe to:
Posts (Atom)