Quand les hommes vivront d'amour

Dans la grande chaine de la vie
pour qu'il y ait un meilleur temps 
il nous faudra  pleurer un temps
mais reviendront d'autres beaux jours

Bien sur viendra un nouvel amour
pour la sagesse ici bas pour toi et moi  
saches que jamais je n'oublierai 
Il n'y aura pas de perdant.

Blue Bayou

 La chanson déroule un sentiment profond 
Ce matin , gentille Mireille attire mon oreille
 tu as eu cette chance d'être aimé vraiment 
L'art de perdre aurait été pour les tiens
 Alice z est une parallèle de ton histoire
c'est l'autre histoire à savoir qui est le harki ? 
 tu me diras : tu ne comprends rien ...
mais plus loin que toi , j'ai connu l'exil 
celui de ceux qui ne peuvent parler 
regard facétieux d'enfant sur le passé incontrôlé
de ceux qui refusent le souvenir.
cote à cote nous avons vécu en parallèles
aujourd'hui séparés oubliés à jamais
 tu as préféré quitter mon chemin
sans vouloir comprendre ....justifiant un
nouvel intérêt à la félure des autres ....
laisser tout ça vivre le présent
j'abandonne le profil bleu de ta vie , adieu .

Gambetta

C'est par la , que mimie pose ses pieds
 protégée par le grand tribun italien.
 je sais aussi , que ses racines l'ont fait aussi.
Parti pour une grande bataille, il n'est jamais revenu.
 En bordure de son quartier , il lui faudra
passer et penser à ce grand homme.

La subduction Méditerranéenne

Comme l'effaceur lave nos écrits ,
les iles de notre vie seront rincées
Se méfier de la Caspienne en agitations
danger extrême d'une mer enfermée
il faudrait me lire , on ne sait que dire !

Il n'est plus...

J'ai mis le temps à l'oublier ..
Comment faisaient elles ces femmes répudiées?
repoussées  écartées oubliées effacées ...
 Parce que les hommes les consommaient
"denrées" d'état ,d'héritage indigeste..Belles ,laides , intelligentes ,
 bêtes , repliées , cuisinières ou pas , inutiles ménagères.
 Mais aujourd'hui ce 25 novembre l'égalité est enfin décrétée!

Sweet dream

Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant 
d'un amour muet  parti sans détour
 De retour d'une odyssée perdue
Ne rien espérer de cela que le trépas
 L'effluve ne laisse qu'une buée de larmes
sur un miroir difficile à essuyer

C'est grace à vous deux

Ce que je suis devenue ce que je suis ,
d'abord toi , l'amour de la déraison,
puis lui , l'amour tranquille de la raison.
De toi c'est l'image au fond de ma dernière demeure
de lui , son image serrée sur mon coeur .
 Comment le dire ? mon enfant saura le faire .
Souvent j'entends vos voix , lointaines ou présentes
en moi , à la lumière de mes émois.
 Parce que je me sens légère devant cela,
ils sont les amours de ma vie.

J'irai la-bas avec lui ...

Il ne reste qu'à choisir, la- bas il m'emmènera
Aujourd'hui le soleil est au zénith
rendez vous pour me dessangler la jambe
 curieusement le nez au vent et belle mine
je sais pourquoi le papillon de nuit était fou
il se tapait partout , partir sans toi..c'est ça ! avoir pleuré des océans , tourné les pages
écrit des ouvrages longtemps tout le temps ...
Au carrefour des ans je prend le temps ,
je continuerai à parler sur papier
que tu lises ou non , c'est ma route évidemment!
je me moque de tes choix ,
rien ne peux être meilleur que moi !

Ce jour la ,

Ce jour la  tu as glissé un anneau à mon doigt
ce n'était ni de l'Or ni de l'Argent
resté près de moi dans une petite boite d'amour , parfois j'y glisse mon doigt ,
 il est fait pour moi éternellement  toujours 
Trente et quelques années après , ce symbole immuable existe
certaines dames flouées oubliées le porte glissé sur  leur collier
Cet anneau , je le place en secret, sur l'étagère face à mes yeux entre deux encriers blancs
en marbre de Carrare
Près de Quetzalcoat et du lapin de la dame à la Licorne
 Médusa fixe un regard sidéré  depuis 1923
le message du seigneur des anneaux Alexej Von Jawlensky.
Ce regard n'est pas rien il lit trois décennies de vie profondément  unies
 Le guerrier s'est noyé grisé pour l'ile de Circé.
  

Va, ton vol de nuit s'en va

Destination je ne sais pas , c'est comme ça 
ton trajet n'est plus le mien il est sans retour
Conquistador d'autrefois sans foi ni loi
De mon royaume tu n'est plus le roi
Avec plus d'une décennie d'oubli 
Un autre voyage commence pour moi
L'attente est remisée la tapisserie pliée
Pénélope ne reconnaîtrait plus Ulysse   changement de lunettes, de perspectives.

Sans toi , ma vie.

Quand le destin est brisé on ne peut imaginer
la douleur la violence de la souffrance
Chaque jour reviennent les moments d'amour
Suivre la raison est difficile sans carte routière...
 si un remarquable compagnon nous prend par la main
il arrive de penser: je me suis trompée de train

 Correct , responsable est cet autre 
je tiens à  lui donner respect
et de l'attention,   ne pas l'encombrer
Je loue la constance de son suivi, 
maintenant je dors et l'adore aussi, 

pour lui l' attention c'est de l'amour .
 La canicule est partie , je vais recommencer une toile qui lui plaira peut être

Code / 26081949 ...

26081949 pour moi
L'Addition de tous ces chiffres  porte à 3  
savoir hors de toute information le rôle surréel de cela ,
la conscience du sens profond qui unit ces chiffres 
définit les multiples capacités de communiquer.

Ce n'est pas une supposition rêvée imaginée 
en alignant ton code lui aussi de 3
je ne doute pas , je sais que tu entends..
Le savoir ne me mène à rien.
Sursaut numéral numérologique inutile.

Tout ce qu 'est le 25 .

 Voilà avec Vermeer il est venu me dire son secret
Le grand homme qui me promène , il aime 
Toutes ces paroles d'amour de sagesse de tendresse 
que je m'interdisais sans retour, fachée 
de ne pas être pas celle qu'il mérite .
 Dans les billes noires de nos yeux on ne se  voit pas 
parce qu'on ne sait pas !
Johannes vivait un autre siècle ,
les images de son âme
 nous regardent continuer de vivre
 Un regard des Flandres 
toujours actuel chez JP.......

La difficile marche en solitaire

Non , changer de pays je ne peux
Bien ancrées mes racines demeurent en pare vent ,
As tu lu ?, la cousine Nunez " cabeza de Vaca " serait disparue
L'aieul Conquistador a disparu sur l'Atlantique perdu sur le  " L "
Il aurait confondu longitude et parallèles : difficile de revenir

Les flots balancent ma vie comme la sienne
L'horizon incertain est celui du marin
Le désir vague d'user de mes pieds est une île perdue
je ne sais plus pourquoi je l'ai perdu ,

Dix milles pieds sous la mer , autant la-haut dans l'espace 
 qui suis-je où vais- je ? je ne sais plus je ne sais pas 
Toi qui a voulu te perdre dis moi comment se mesurer à ça ?
Pénélope tissait moi j'écris le néant à pas de géant

Ne plus être la même, celle que tu as cru croiser
 je suis une autre  je ne me connais même pas
 Eclairée et chancelante , je glisse sur la route 
continue , discontinue , étincelante éblouissante

L'étranger ne me méritait pas

  Passé à coté de moi
sans savoir  me voir pourquoi?
 Lady Mary est un miroir ,  tu  vois ?
c'est comme ça ,  humiliée à tout jamais.
Dix ans de peine aujourd'hui effacés
 personne ne t'aimera autant que  cela 
il  arrive de  souhaiter plus rien de bon
mais à quoi bon continuer de  parler 
ce qui est vrai est si dur à effacer...

Il aimera d'autres que moi
La vie continuera au delà des faiblesses
c'est une erreur de  jeunesse 
de croire à mieux que cela
c'est si blessant  d'ignorer l'autre de retirer le sel de sa vie.
Adieu...

Quelques mots d'amour

Il manque quelqu'un près de moi
je me retourne , souvent sans toi
D'où vient ce sentiment que je suis seule

de tout ces gens qui ne me connaissent pas
qui ont tant  de propos qui font mal.
je t'envoie beaucoup d'images
 que tu ne voies pas que tu ne lis pas ,
 reçois mes histoires en  ironie de moi .. 
 reçois tout ce qui reste en moi,
 j'écoute les battements de mon coeur
dans le vide immense du présent
rien ne sauras jamais remplacer  
ce que j'ai aimé et effacé .

Te dire que je m'en vais

Voila facile pour les autres
j'ai marché dans l'allée
comment  faire pour oublier
je ne peut pas vraiment pas 
 la gorge nouée je vais sans toi
Adieu à tout jamais .....

Si tu crois

Que j'en parlerais , c'est faux. 
Il ne faut pas croire j'ai toujours de l'espoir.
Si tu crois que c'est fini et oui ..
mais si tu crois que j'oublie c'est faux .
et si tu penses cela  tu ne m'oublies pas voila.
 Tout ce qu'il y a de faux ne me concerne pas 
que j'ai longtemps cru en toi , pourquoi 
,

I

je n'ai fais que t'aimer te pardonner

violence contenue

 J'ai envie de te péter la gueule
 je veux que tu souffres comme moi
 je peux aussi te mentir
 autant de temps que toi qui le pratiquait
le pauvre chéri il pleurait à l'aéroport ....avec sa gnon gnon
pas assez d'amertume pour toi
sais tu qu'on se fout de toi ?
 qu'.... se joue de toi ?

Faire cela une deuxieme fois

Pourquoi pas encore , mais à l'envers cette fois ...
chacun son tour ad vitam éternamente
avec sécheresse et mépris  normaux .

On s'est quittés comme ça

 Devant la gare sans garde de corps
 j'ai pris ta main quand même
je savais que tu ne reviendrais pas
 je t'ai vu prendre ta valise sans te retourner
 mon coeur n'explosait pas encore
 j'aurais bien couru vers toi
 le train est parti sans moi
 dans la nuit,je l'ai vu glisser la gorge serrée
dans ma voiture je suis montée
 avec les larmes qui coulaient , 
j'ai filé me cacher seule dans la vie
 mes sanglots ont éclaté , ma vie se déchirait
au bord d'un quartier inconnu endormi

Yuccas et Céanothes

Il est monté dans l'arbre , a rompu des branches.
Entassées, triées , recoupées , enveloppées , ballotées
échenillées , essartées
 Sécateur en main j'ai souhaité participer ,
mais l'ardeur du soleil m'en a empêché 
au bout d'un moment
Empaquetés , les gants de travail à jeter 
et les fleurs de Yuccas sont partis aussi 
vers la déchetterie.
 La matinée est belle , la canicule brule,
la chaleur est  dure à supporter.

Cher ami je suis partie

Adieu mon âme est malheureuse

Rien ne t'empêche d'écrire qq mots

Oui si le temps de la souffrance morale est apaisé
 La souffrance physique reste implantée
 Souvent par fierté je n'en parle pas
 mais quelque pas me déchirent

Tu me lis

 Quarante degrés , difficile de dormir , de marcher ,
Tous le dossier cure est envoyé déjà pour 2018,
je ne peux plus te parler, tu es trop loin . 
je te parlerai des détours de ma vie ...
j'ai dormi à Saint Nectaire ,une ex ville d'eau abandonnée
avec de superbes villas oubliées
 quand l'orage s'est déchainé zébré d'éclairs violents
 ce jour là l'Auvergne s'est recouverte d'eaux en colère..
Puis le retour reprenant nous sommes allés boire à Vichy
sous les passages  du parc du " maréchal"....
Après abandon de l'autoroute l'itinéraire a glissé vers Tronçais..
au coeur de la forêt de chênes royaux 
 Saint Etienne se profilait à l'horizon....
 suis allé embrasser ma maman 
qui ne me reconnais plus du tout ...
Le coeur en berne, on est retourné sur le littoral. maintenant il fait chaud : 40°.

Dans mon sac ...

La fermeture éclatée , les souvenirs jaillissent ...
je l'avais retrouvé plein de pailles de l'écurie ... 
les pailles de l'autre avec une odeur de cheval.
moments amers ,goût de dégouts ,
secoué aspiré et lavé , il sert toujours ..

Ce matin , sacoches de soins , brosses et peigne ,
nécessaires d'hôtel , vêtements de nuit, sabots.
viennent prendre place pour  aller  à ALBI 
rien n'efface les traces cavalières ;
le point dans la gorge encore vivace ...
Ces joutes voraces  dégueulasses me lassent.
Les années sont passées , ma vie pillée à jamais .

 En réponse immédiate : instants semblables sans retenue .
Le quartier maître  a su naviguer sur mon désespoir.
 Les nuages et les vagues  fluent nos jours ,
pleins de messages d'amour .
 

Compter tous les propos

Je ne suis pas pour un quotidien avec le mépris,
comment se fait-il que cela soit si courant ?
 Blessée par l'égoïsme , l'incompréhension
 il ne faudrait jamais répondre à la médiocrité.
 Vous qui savez tout ...qu'en pensez vous ? 
tiens , il y a de la place pour  écrire ... qu'en dire ?
Il faut que je lui dise l'importance que je lui voue
comment lui dire comment lui faire comprendre 
d'un sourire, je me sens adolescente pour lui.
dans le carré des sentiments secrets
 il me faudra l'avouer vraiment ! à lui évidemment !

je n'ai pas pu te dire

J'voulais pas qu'tu t'en ailles
Le  désarroi , est ce que tu sais cela ?
 femme et  enfant marchent 
sans toi j'ai vieilli , elle a grandi
 Charente maritime / Paris terres d'exil 
 chaque jour est un autre jour
 chacune , nous dormons avec eux chaque nuit
 la vie veille sur nous , eux aussi , 
 Embrasse moi depuis toujours je sais que tu m'aimes
tu le sais aussi c'est pas un problème
 

MON ILE

Sans espoir de voyage sans bagage
cette île est dans mon ciel , la -haut
inaccessible comme l'impossible ...
Mon île s'est noyée dans un océan ,
tu ignorais que j'aimais tant ...

Suivre les paroles de celui là que je n'apprécie pas..
 par  tellement de talent il  flotte sur l'eau comme ton bateau
 Beaucoup De courage , d'intelligence , d'expérience
 une présence faite homme !
 tu es là c'est tout comme !

Résilience

 Une voix intérieure profonde dit :" pélerinage "
 je pense , oui c'est profondément vrai
 " marche , franchis l'escalier sans t'arrêter
à ta mesure tu as le temps...
 La vierge noire t'attend comme à Yuste "
elle attendait Charles le cinquième.
Par confiance en la vierge noire de Guadalupe 
je me sens aidée suivie sans oublier la brulure du soleil.
 C'était  sous les routes d'Espagne que mes bras
ont été contraints de douleurs la première fois ...
Cela , ne s'est jamais  effacé de mon corps.

 L'escalier de  Rocamadour : enfant je l'ai franchi
 Avant mes 70 ans je le refranchirais.
 je le monte constamment les yeux fermés
 dans mon for intérieur
 je remarcherais, c'est sur, je le sais !

Homniprésence

Tous ceux qui sont partis vivent encore malgré eux.
Implantés constamment dans notre âme consciente .
je n'ai jamais cessé de te parler mais je n'ai plus d'image
par contre j'entends ta voix tout près de moi
C'était un beau pays ton pays je n'y ai 
jamais mis les pieds je l'espérais
mais tu ne voulais pas partager 
 tu n'es plus la c'est comme ça .

Sur l'autre chemin de la vie viennent amours
profonds , soutiens, réels jamais imaginés.
Pour Celui ci qui me tient la main maintenant,
mes sentiments répondent  vraiment .

Dans mon sarcophage

 Une fois fermé je ne pourrai crier ni pleurer
 Seul l'ADN pourra me raconter quelques siècles après
l'Améthyste violette toujours à l'index pointé tout droit
tu ne pourras pas dire " pourquoi ?"
tu ne seras plus là ; dans une envolée de cendres
le passé te piquera les yeux , peut être ...
j'entends ta voix m'appeler outre tombe ...
 Adieu , vis ton exil....

Ce que l'histoire nous apprend ...

L'indissociable lien ineffaçable des  références littéraires

Tristan et Iseult , Roméo et Juliette ,Antoine et Cléopâtre
Paul et Virginie , Robin et Marianne , Napoléon et Joséphine ,
Longue est la liste à laquelle il suffit de rajouter son nom...

 Et puis taire tout cela , respirer, continuer, effacer, tout recommencer
 Infinitésimaux tourments terrestres qui se croisent s'arrêtent un instant,
frôlements de peaux , sommeil commun , sourires, voyages d'idées,
Constructions, déménagements ,éloignements, retours, discussions,projets,
 Oubli, rejet, cassure ,départ, fuite, chagrin éternel ...
 Valse de " trucs " à ne jamais évoquer
 Ce matin à la pensée du trépas : " on lui dit , on lui dit pas ?"
 viendra , viendra pas ? ....

Ne crois pas , c'est comme ça

Et non , l'espace temps ne t'efface pas ...
J'habite toujours tes souvenirs et ta planète .
Rien ne peut m'effacer de ta vie  tu le sais.

 En ce jour je parle plusieurs langues , je n'écris
pas le cunéiforme  mais lire les hiéroglyphes
me passionne ,rien n'est résolu il faudra partager!

2017 fête mon 68 ème anniversaire
Un grand nombre de branches tombent de nos arbres
le vent les emporte avec le temps qui coule
Tu vois je n'ai pas changé et  j'ai évolué .

A la lumière des temps je comprend mieux
ce que l'on  peut constater, toutes les tragédies
curieusement imaginées , certaines sont terribles
d'autres politiquement magnigancées...

 Je change de rive , observe les uns les autres
 déjà je marche sur un autre tarmac ,
 l'organisation de ma vie ne répond plus à hier,
prendre le train obligeait à suivre des tracés ressassés

I'm not in love

 I keep your picture upon the wall
it hides a nasty stain that's lying there
So don't you ask me
to give it back
I know you know it doesnt mean that
 much to me
 i'm not in love , no no , its because .

Madame Butterfly

Ce chant lancinant de l'extrême orient colonial 
 Ce chagrin tendu de détresse rappelle à qui le veut
 la part du drame culturel encore et toujours vécu.
Images calmes de mers théâtrales , 
les flots noirs du chagrin.